L’ESPANEGLATE
Oh cette cérémonie annuelle où tous soufflaient dans des peaux cousues :
L’espaneglate, où spanions et suriettes bizouyaient.
Ces scènes d’amour publique en toute décence, par le travers des outils-instruments de jovialité populaire et débridée.
Avant l’ère du décalque, aux horizons des doubles lunaisons, pointait l’afrödise avec des quantités de parfums espouflante et des qualités de parfums gaillardantes.
La mise au point des circulations réunissait tout le gotha autour des gâteaux. Les gâteaux de la Loire avaient déjà la réputation hybride de luire et de reluire. [ … ]
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